21 avril 2021
Libération
A la suite de ma précédente publication il y a une autre affirmation qu'il me vient à l'esprit de partager :
"X (le nom de la personne concernée), je t'envoie toutes mes pensées d'amour et de pardon et je te bénis abondamment. Je me libère de toi et je te libère de moi pour notre plus grand bonheur à tou(te)s les deux dans l'harmonie et dans la paix. Je te souhaite tout le bien et désire que nos chemins ne se rencontrent plus".
Dire ces mots est loin d'être anodin. Par exemple dans ces années-là (80-90) j'étais harcelée par un voisin. L'amie dont j'ai parlé dans une précédente publication a eu l'intuition qu'il pratiquait le vaudou. J'ai répété cette phrase toute la nuit. Le matin je le rencontre et on se parle naturellement (impossible avant) et dans la conversation il me dit que son père était un grand parapsychologue guadeloupéen.... Quelques semaines plus tard il déménageait.
Évidemment vous vous doutez que je ne pouvais pas dire le début de l'affirmation, impossible de lui envoyer des pensées d'amour mais ça a quand même marché !
Beaucoup de gens à qui j'ai indiqué cette phrase ont du mal à le faire quand il s'agit de leurs proches. Et pourtant combien de relations pourraient être améliorées si on ne confondait pas amour et dépendance... On oublie souvent que même dans un couple, avec ses enfants, chacun a son propre chemin, sa propre mission d'âme sur laquelle nous n'avons pas à exercer notre pouvoir dans le but souvent inconscient se rassurer soi-même !
07 83 53 13 79
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